Samedi soir je me suis permis une excursion hors « after-ping » chez un copain avec une fameuse cave…
Riesling 1998, Hugel ; Volnay 1er cru 1983 de chez Dupard Ainé ; Haut-Médoc de 1982
La soirée a été assez difficile à soutenir pour quelqu’un, i.e. moi, qui devait au minimum goûter à tous les vins proposés et en même temps se limiter en quantité pour assurer le trajet retour dans la pleine d’Alsace.
…surtout à la vue de la bouteille de bourgogne Fr’tami !!
Bon après ça les choses sérieuses commencent : un Volnay 1er cru de chez Dupard Ainé de 1983 à Puligny Montrachet. On voyait que la bouteille avait soigneusement vieilli à l’abrit d’une cave de choix, avec sa fine pellicule de poussière uniformément répartie sur la bouteille.
Ce Volnay avait une robe devenue très opaque contrairement à ce qu’on connaît des bourgognes à la couleur rouge légère et transparente. On se dit que soit le vin est mort, soit qu’il y a du matos qui s’est également bonifié avec le temps. Et effectivement il était très bon, avec un magnifique goût de pruneau comme je n’avais jamais senti.
Par contre après on a beaucoup causé et raconté des voyages que j’en ai oublié le nom du Haut-Médoc de 82… Mea culpa…